lundi 24 avril 2017

L'A.A.A's - 12.


Repartons du surréalisme. Le surréalisme il me semble que CELA a été un nouvelle chose qui, pour faire court, avait le postulat de fuir la réalité, le réalisme et dans sa volonté de détourner tout CELA de proposer une spiritualité inventée, comme un vain espoir, qui au final à mon humble avis a éloigné l'art en général du quotidien et de l'ordinaire et des questions existentialistes des quidams du peuple et du petit peuple alors que l'art de plus en plus est devenu une question d'initiés, d'intellectuels et élites… Le romantisme par rapport au monde en mutation de son époque a posé de bonnes questions par rapport à son individualité et au devenir de l’être, de son identité et de son destin. L'art globalement, devenu trop mondain, conceptuel, abstrait n'a-t-il pas peu à peu abandonné, délaissé, voir “trahi” la force de questionnement essentielle posée par le romantisme pour l'Humanité. L’Art, aujourd'hui, est devenu bien trop marchand et j'affirme même affaire de capitalisme et l'on sait, hélas, où le capitalisme, devenu mondialisation, entraîne l'Humanité. Naïvement, certainement, dans cette haute Ambiance et processus accéléré de l'Amplification des Ampleurs Aggravations de plus en plus de petites gens, de gens simples et modestes et d’artistes du “parallèle” comme NOUS, sommes avec dans la gorge ces questions que je nomme, et je crois que ce n'est pas idiot, sur-romantiques (en reprenant le sens profond et initial du romantisme car rien à voir avec la "fleur bleue") pour résumer ce qui s'amorce avec ces 3 questions : « Qui sommes-NOUS ? Où allons-NOUS ? Dans quel état errons-NOUS ? » L'utilisation du NOUS est, LÀ, importante car pour moi il revoit à une notion de collectif solidaire et impliqué les uns par rapport aux autres.


Christian Edziré Déquesnes, réponses à Alain Marc

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'Cher Christian,  OUI, " le poème n'est que dans le poème", ce pourrait être une définition magnifique du surromantisme bleuNUIT.' [...]
Carole Darricarrère
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Rappel vos avis, sentiments, impressions, réflexions... au sujet du surromantisme bleuNUIT NOUS intéressent afin non  pas de créer un mouvement mais d'essayer de faire émerger une dynamique...
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Ma très chère Josiane Bartazeau,

Il faut, hélas, se rendre à l'évidence les (f)Ranciers sont des gros cornichons, j'utilise cette expression afin de ne pas devenir grossier, ils sont prêts à nommer à la présidence de leur raie-publique, un quarantenaire qui outre d'avoir déjà en temps que banquier travaillé dans l'escroquerie légalisée, a durant deux années été conseiller, proche collaborateur et ministre de Porchinet premier et c'est durant notamment cette période que quelques unes des pires mesures de cette gouvernance de la (f)Rance a été la plus pitoyablement catastrophique pour les droits des travailleurs, des petites gens et des classes moyennes mais ces gLouiros cornichons vont bien sûr voter pour le banquier qui n'est ni de droite, ni de gauche mais du partie de la haute finance et bien prêt à faire passer par coup d'ordonnances de nombreuses mesures qui vont porter atteinte à la législation du droit du travail et aussi au système de protection social des gens ! Droit du travail et protection sociale qui appartiennent au peuple dont aux gros cornichons. Bref...
Sinon chez les journalistes t.v un nouveau mot est à la mode : Porosité ! Combien de fois cette dernière semaine ? Je n'ai pas entendu ' Quelle est la zone de porosité entre la délinquance ordinaire et le terrorisme islamique ? Moi, je dis qu'il faut simplement cesser d'avoir peur des mots ! La zone de porosité évoquée c'est juste la criminalité (volontairement ici je tais le mot délinquance) et le grand banditisme quand à la délinquance elle est en soit jamais ordinaire... c'est toujours, hélas, un comportement qui sort de de l'ordinaire donc extra-ordinaire ! J'ai travaillé longuement durant deux décennies aux côtés de délinquants, NOUS parlions alors de petite, de moyenne et de grande délinquance ; jamais ils ne nous seraient venus à l'idée d'utiliser une expression comme : délinquance ordinaire car il ne faut pas sortir d'une haute école pour comprendre que parler de délinquance ordinaire c'est stigmatiser la délinquance comme un processus de banalisation. Les journalistes sont plus que des gros cornichons, d'ailleurs si on les observe bien, NOUS voyons qu'ils tentent de NOUS convaincre en agitant leurs mains dans tous les sens car ils savent bien que lors propos sont vides. Si on leur coupé les mains, ils seraient vraiment bien ennuyer pour essayer de nous faire croire qu'ils sont encore capable de NOUS parler simplement et honnêtement. Les écoles de journalismes sont-elles devenues des écoles de théâtres, CELA est à craindre !

Ma chère Josiane, à vous lire et connaître peut-être ce que VOUS pendez de tout CELA.

Bien vers vous et fraternellement.
Luis Piglou.

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